Notre programme de recherche a pour but général de comprendre comment le cerveau contrôle l’activité motrice et par quels mécanismes le vieillissement ou certaines pathologies neurodégénératives, comme la maladie de Parkinson , altèrent cette fonction.
Nous cherchons à identifier des réseaux neuronaux impliqués dans l’initiation et la régulation de l’activité motrice chez la drosophile, ainsi que les mécanismes de leur modulation circadienne , sous le contrôle de nos horloges internes .
Nos approches combinent la neurogénétique et l’imagerie cérébrale. L’utilisation de la drosophile est justifiée car sa motricité est aisément quantifiable et des outils de plus en plus évolués permettent de suivre ou modifier l’activité de ses neurones in vivo.
De plus, des modèles des principales maladies neurodégénératives humaines ont été développés et sont couramment étudiés chez cet organisme.
Vous trouverez des informations plus détaillées sur notre approche générale, et sur une de ses retombées récentes, dans cette interview .